L’illustre homme d’affaires mauritanien et PDG de la Banque du Commerce et de l’Industrie (BCI) Isselmou Ould Tajeddine n’a pas besoin d’être présenté pour les mauritaniens de tout bord, en raison de sa grande renommée forgée par ses qualités d’homme modeste, affable, ouvert et fidèle à ses convictions.
Jouissant d’une grande popularité à travers les 4 coins de la Mauritanie et plus particulièrement au niveau de la capitale Nouakchott et les wilayas du Brakna, du Tagant et de l’Assaba, Ould Tajeddine constitue à lui seul, un lourd poids incontesté et sans pareil dans le paysage politique national.
Un acquis qu’il met cependant au crédit du projet de société du Président Mohamed Ould Cheikh El Ghazaouni, auquel il témoigne un engagement sans faille avant et jusqu’à ce jourson élection à la présidence de la République en juin 2019, une fidélité constante et un appui sur tous les plans pour mener à bien son ambitieux et inédit projet de société pour la Mauritanie.
Avec la perspective d’organisation d’élections législatives, régionales et municipales l’été prochain, le parti Insaf au pouvoir peut se frotter les mains de joie et aller sereinement à ces consultations à Nouakchott, au Brakna, au Tagant et en Assaba, où la mobilisation des militants et des sympathisants acquis à Ould Tajeddine est largement suffisante pour s’imposer.
Cette fidélité et cet engagement de Ould Tajeddine au Président Ould Ghazouani appellent les autorités à des égards plus adaptés à l’appréciable apport de l’homme et à son indéfectible soutien.
En effet, l’homme mérite mieux que quiconque, eu égard également à sa probité et au travail professionnel de son système bancaire, de bénéficier des marchés publics généralement accordés par le pouvoir de Nouakchott à des non-initiés.
En effet, l’homme d’affaires Ould Tajeddine dont la réputation a dépassé les frontières et dont le réseau bancaire a fait des percées notoires dans la région ouest africaine, est incontestablement le bras droit le plus recommandé pour le gouvernement mauritanien pour mener à bien ses ambitieux projets économiques pour la Mauritanie pour les prochaines années.
C’est d’autant plus vrai que le pays qui s’apprête à entrer dans le cercle restreint des pays exportateurs du pétrole a besoin d’homme d’affaires de cette envergure et bien connus tant à l’intérieur du pays qu’à l’extérieur, pour décupler les chances de succès et sans fausse note et chocs de la révolution industrielle, économique et financière qui profile à l’horizon et qui devra être mise à l’avenir au service du projet de la Mauritanie moderne, économiquement développée et indépendante
Nagi Jeouda