La corruption constitue ce que les sociologues désignent comme étant un phénomène social total, c’est-à-dire qui a des conséquences et des répercussions multiples, notamment politiques, économiques, culturelles, voire psychologiques.
Depuis que Ould Ghazouani est au pouvoir, un acharnement sans précédent, inexpliqué, injustifié est déclenché sur sa personne, sur son épouse, sur des membres de sa famille, sur ses proches, mais également et beaucoup sur des membres de son gouvernement.
Lorsqu'une chose plaît, le mauvais œil peut se produire quand bien même il n'est pas accompagné d'envie, et quand bien même il s'agirait d'une personne aimante et d'un homme pieux.
L’actualité du mois de novembre 2021 est dominée par le blocage du convoi des militaires français par les populations dans la ville de Kaya au Burkina Faso pendant près d’une semaine. Cette cohorte de véhicules ayant quitté la Côte d’Ivoire pour Gao au Mali via le Burkina Faso et le Niger.
Pourtant le rendez-vous était fixé depuis une année. Et comme chaque année depuis 1991, policiers et manifestants se fixent ce rendez-vous de la honte à cette date du 28 novembre, jour d’indépendance pour les uns et de deuil pour les autres.
Le Président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani a été élu sur un programme éminemment social. Il a créé la Délégation Générale à la Solidarité Nationale et à la Lutte Contre l’Exclusion « TAAZOUR » dont la mission est au cœur de son Projet d’Etat et de Société. Gros plan sur le top-management de cette Structure Présidentielle.
Rarement dans le monde les droits des femmes et des filles n’auront été mis en cause de manière aussi préoccupante qu’en Afghanistan. L’UE a clairement indiqué que l’aide au développement qu’elle accordera à l’avenir sera subordonnée au respect des normes relatives aux droits de l’homme, y compris aux droits des femmes et des filles.
Septembre 2020, la colère des paysans de Dar El Barka et de Ould Birome tacle une procédure de mise en valeur de 3.200 hectares au profit d’une multinationale.
Dites-moi que je rêve ! Une lettre adressée par l’ancien président Aziz au peuple ! Celui qui jetait en prison ses opposants, qu’ils soient hommes politiques ou défenseurs des droits de l’homme, pour un oui ou pour un non, vous dit que le pays est devenu, après lui, « une grande prison » !!!