La Commission européenne et le haut représentant ont présenté aujourd'hui les plans d'une réaction énergique et ciblée de l'UE destinée à soutenir les efforts déployés par les pays partenaires pour faire face à la pandémie de COVID-19.
Continent jusqu'ici épargné par le coronavirus, l'Afrique envisage avec anxiété sa propagation. Si elle a eu du temps pour s'y préparer, tout le reste, c'est-à-dire les moyens de le faire efficacement, lui manque.
Nul n’est en droit de contester le fait que le Roi du Maroc supervise en personne toutes les mesures prises dans le combat contre la pandémie du coronavirus (COVID-19) pour protéger les Marocains et ce, dès son apparition dans le Royaume du Maroc.
Dans un contexte de fermeture des frontières à cause de la pandémie du Covid-19, la marine mauritanienne a « découvert des passages secrets d’infiltration sur le fleuve Sénégal », selon le chef d’état-major général des Armées, le général de division Mohamed Cheikh Mohamed Lemine.
Le contexte sécuritaire et sanitaire peu favorable dans notre pays n’émousse aucunement la détermination de nos Forces de défense et de sécurité dans l’accomplissement de leurs missions régaliennes de défense de l’intégrité du territoire, de protection des personnes et de leurs biens.
Le Centre d’analyse, de prévision et de stratégie relevant du ministère français des Affaires étrangères estime que la crise liée au Covid-19 pourrait sonner la fin de certains régimes fragiles au Sahel et en Afrique centrale.
Le monde entier affronte aujourd’hui un ennemi commun: le COVID-19. Le virus n’épargne aucune nationalité, communauté ou religion. Il attaque tout le monde sur son passage, implacablement.
Pendant ce temps, les conflits armés continuent de faire rage dans le monde.
Le Magazine « Jeune Afrique », a publié le jeudi 2 avril dernier, un article intitulé « Comment les présidents africains se protègent du Coronavirus.
Jeune Afrique cite dans cet article réservé aux abonnés plusieurs Chefs d’Etats du continent dont le président mauritanien Mohamed Ould Cheikh Ghazouani.
Un appel à la paix clair et net. «Le pire est à venir» dans les pays en conflit, a averti اhier le 3 avril le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres en relançant son appel à des cessez-le-feu partout dans le monde pour aider à endiguer la progression du Covid-19.