Il y a à peine trois heures, j'ai appris une histoire bouleversante, m'ébranle profondément, surtout sur le plan émotionnel et mental : le viol collectif d'une jeune étudiante par trois individus, sous les yeux de son père paralysé, dans leur propre maison.
Cet acte ignoble est d'une cruauté inimaginable, et il est impossible de rester indifférent face à une telle tragédie.
Au-delà de l'obligation de rendre justice et de punir sévèrement les auteurs, il est impératif d'assurer à cette jeune fille tout le soutien nécessaire pour reconstruire sa vie.
Son courage d’avoir dénoncé ce crime mérite d’être reconnu et valorisé. Son bien-être, ainsi que celui de sa famille, doit être une priorité absolue.
Les plus hautes autorités, la société civile, les organisations nationales et internationales, ainsi que chaque citoyen, ont la responsabilité de lui offrir un accompagnement moral, juridique, financier et matériel.
Elle doit pouvoir poursuivre ses études et réussir son insertion professionnelle et sociale sans entrave.
Elle mérite de devenir une professionnelle accomplie, une épouse et une mère, sans être jugée ni stigmatisée.
Cette jeune femme doit devenir un symbole de résilience et d’espoir, incarnant la force et la détermination au sein de notre société et dans le monde professionnel.
Cet acte ignoble ne doit pas rester impuni, et la victime, tout comme sa famille, ne doivent jamais être oubliées.
Nos autorités doivent garantir qu’elle ait libre accès à toutes les opportunités nécessaires pour se reconstruire et réaliser ses aspirations.
Je partage sa lettre qui mérite d'être lu, partagée, postée et être sur les murs des organisations de defense des droit de l'Homme ainsi que les associations contre les VBG.
"Il pleurait sans pleurer, je mourais sans crier"
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