Le Plan d’urgence de la pêche Synthèse de la situation de pêche en Mauritanie

Historique :

Les habitants de la cote nord de la Mauritanie qui jonche l’océan atlantique est composé de deux segments de population

Les Imraguens au sud distribués tout au long des iles :(qui forment le Park national du banc d’arguin) Agadir,Arkeiss,Tinaloul,Iwik,Tesset,Teichitt,Rgueibe,Nouamghr, Lemheijratt,Tiwilitte,Lemside,Ablewakh.

 Les habitants autochtones du Nouadhibou au nord dans la presqu’ile du cap blanc, la baie du lévrier, la baie de l’Etoile ainsi les petites iles qui s’y rattachent

 

(a)Les Imraguens sont les pécheurs les plus anciens de la sous régions depuis des temps immémoriaux ces hommes dénommes ‘les marcheurs sur l’eau’ ou les “ramasseurs du coquillage” du langage ancien berbère habitèrent le golf d’arguin ,le point de rencontre du vent harmattan du désert et alizes des canaries, ce qui engendre le phénomène D’upwelling, qui consiste simplement dans une repousse des eaux chaudes vers le large et remontées des eaux froides riches en nutritives pour former le premier maillon de la chaine alimentaire.

 Ils utilisèrent une pêche simple du filet a la main souvent avec l’aide des dauphins qui avait développèrent une relation séculaire avec ces hommes, puisque les imraguens donnent sept coups de bâton aux vagues de la mer ce qui serait reçu par les dauphins comme navigation mal coordonnée d’un banc de poisson en difficulté et ils nagèrent en direction des ondes de bruit. Ce mouvement inattendu des dauphins fait peur au banc du mulet jaune qui a son tour nagent vers la cote.

Les imraguens renferment leur filet autour du banc du mulet laissant une brèche pour le mammifère collaborateur afin de pêcher à sa guise puis reprendre calmement le large, puis les imraguens retirent leurs filets vers la cote.

Dans la période des années 50 les imraguens commencèrent a utilisés les bateaux à voiles, communément connu, sous le nom de’ lanches‘ qu’ils ont appris à fabriquer et naviguer avec ce genre de bateau après un long contact et apprentissage avec les canariens qui venaient déjà pêcher dans cette région.

La pêche traditionnelle des imraguens allant du cap timiris au sud  jusqu’au le cap alsas au nord avait toujours respecter l’environnement et préserver d’une façon naturelle la biodiversité de la faune et la  flore des iles qui s’y rattachent au parc national du banc d’arguin .il est toutefois nécessaire de rappeler que le parc national d’arguin est le berceau et refuge des oiseaux migrateurs ,d’Asie, d’Europe depuis l’éternité et le réservoir biologique des 600 espèces de poissons connu de la Mauritanie(dont 200 commerçables)

 

 

. Les imraguens entretiennent des relations très fraternelles avec les autres groups nomades qui habitèrent le côté continental du parc et échangèrent leurs produits de la pêche contre les biens venus du nord comme le thé, le tissue, le sel et seuls du sud comme le blé, haricot, le mil, vert, gomme arabique, etc…….

 

(b)Nouadhibou

L’ensemble des maures, traditionnellement des pasteurs, nomades, jardiniers d’oasis, caravaniers et négociants, éprouvant à l’égard de la mer une répulsion farouche, Nouadhibou a été longtemps qu’un minuscule point d’eau perdu sous le continuelles brumes de sable isole a la frontière entre deux immensité : le désert de grès et de sel au nord, et l’Océan au sud. Habite par des autochtones qui pratiquer, la chasse, la pêche saisonnière dans la presqu’ile du cap blanc et des pasteurs et possèdent une grande quantité de cheptel principalement des dromadaires. Nouadhibou en effet sépare du Cœur de la Mauritanie par des distances considérable et des obstacles naturels (dunes vives, de l’akchar et l’azeffal) difficiles à franchir ce qui a parmi aux autochtones pendant des siècle la sauvegarde de Nouadhibou.

La ville de Nouadhibou qui est une ville établie sur un littoral désertique qui prend place désormais parmi les ports les plus important de l’Afrique tropicale grâce à son site, fer, poisson.

La presqu’ile du cap blanc s’étendu nord au sud sur une cinquantaine de kilomètre délimitant ainsi une baie largement évasée dont l’origine est probablement due à une faille. La Baie du lévrier cumule deux avantages décisifs : contrairement à celle de Rio de Oro au Sahara occidentale, elle est profonde-avec des fonds de 10 mètres au droit de Nouadhibou et 15 mètres au droit du cap blanc-étant ainsi la seule rade de toute la cote saharienne accessible aux gros navires ; elle abrite de fortes houles atlantiques qui sapent les falaises de la cote des phoques et ses eaux calmes ne sont agitées qu’exceptionnellement par des bouffes de vent d’est. En outre le marnage est faible il varie entre 0.60m aux mortes eaux et 1.80m aux vives eaux.

La seconde chance de Nouadhibou est être situe sur l’une des cotes les plus poissonneuses du monde. Le courant des canaries qui longe le littoral est en effet caractérise par une remontée des eaux froides, riches en phosphates et nitrates qui alimentent un phytoplancton très abondant et donc d’énormes bancs de poissons d’espèces très variés.

Cette richesse ichthyologique est connue dès le xv siècle grâce au récit des navigateurs portugais, la côte est des lors fréquentes par les pécheurs canariens. Mais ce n’est qu’au début du xx siècle a la suite de la pénétration française en Mauritanie que le savant Alain Gruvel avec la collaboration des autochtones, entreprend au cours de plusieurs missions une étude systématique de la faune marine et des possibilités de peche.il préconise la création dans la baie du lévrier d’une station qu’il propose d’appeler, en l’honneur du ministre français des colonies, Port-Etienne. Des mai 1906 a septembre 1908 sont construit un poste militaire, une résidence, un dispensaire, une station météorologique, des citernes, des appontements, et un phare celui du cap blanc, dont la portée est de 18 miles.

Cette installation a terre répondait a plusieurs buts : assurer la sécurité et l’avitaillement des bateaux de pêche, développer une industrie du traitement du poisson ; dans un premier stade, la préparation du poisson sèche et fume dans un seconde stade l’installation des conserveries de nombreux obstacles devaient retarder la réalisation de ce programme ambitieux. L’isolement rareté du peuplement autochtones, la pénurie en eau douce due a la fois a la pauvreté des précipitations (total annuel moyen pour la période 1931-1960, 31,6mm) et l’existence d’un sous-sol compose de sédiments fortement salifères (le biseau sale) au-dessus desquels les dunes ne recèlent que quelques lentilles d’eau douce insuffisante a assurés l’avitaillement d’une installation portuaire.

Seules quelques entreprises artisanales de poisson séché alimentées par des pécheurs canariens, survivaient grâce à la modicité des prix de revient et surtout un climat très favorable au séchage du poisson : chaleur modérée :19-25 C.

 

 L’Independence de la République Islamique de Mauritanie le 28 novembre 1960 s’est accompagnée, d’un changement dans la législation du pays en matière de pêche, face aux incertitudes de la période post- Independence, la main levée présume de la France et son nouveau statut à l’égard de l’ancienne colonie. Ce changement a entrainé et encourage le lobby canarien de la pêche canarienne-africaine regroupe autour du Consortium des industries de transformation du poisson (COIPASCA) de faire un pas en avant et d’investir dans l’industrie de transformation du poisson suivi ultérieurement par la construction d’un complexe industriel à Nouadhibou pour atteindre un objectif à double tranchant politique et économique.

La présence de la S.G.E.P (fonde 1919) au port-Etienne (fonde 1904 par les français) et ses activités de pêche très ancres, déjà très longtemps représente la concurrence par le nombre de navire opérationnel en mer, et la main d’œuvre locale ainsi l’infrastructure a terre ce qui donne plus de poids dans la balance des intérêts économiques du nouveau pays.

La société S.O.M.I.P fabrique la farine de poisson susceptible de traiter 600 tonnes de poisson frais par jour

Le complexe de pêche construit par la société à capitaux exclusivement espagnols : I.M.A.P.E.C qui comporte une usine de séchage traitant 20000 tonne de poisson frais par an, une usine de farine de poisson capable de traiter 100 tonnes par jour et une conserverie d’une capacite annuelle 3000 tonnes.

Au total des 1967-1970 l’ensemble des industries de transformations port-stéphanoises est capable de traiter 140000 tonnes par an de poisson frais ceci est un chiffre considérable qui implique la solution de deux problèmes, celui du renouvellement du stock de poisson, celui des débouches.

 

 

 

 

Etat-de- lieu

Les eaux mauritaniennes sont très riches en ressources halieutiques grâce aux nutriments transportés par le courant des Canaries et la remontée naturelle des eaux froides.

Depuis le début de la décennie, la Mauritanie est plongée dans l’instabilité financière et politique. Les sècheresses récurrentes et des efforts visant à réduire la pauvreté et à améliorer le niveau des services de base se sont traduits, avant l’an 2000 déjà, par une forte augmentation de la dette extérieure, qui a placé le pays sur la liste des Pays pauvres très endettés (PPTE). Des coups d’État ont été perpétrés en 2005 et 2008.

La pêche est un secteur crucial pour l’économie mauritanienne, tant au niveau de sa part dans le PIB et les exportations du pays que dans les rentrées budgétaires ou la création d’emploi. Les captures réalisées par les navires mauritaniens sont pourtant très faibles par rapport à celles enregistrées par les flottes d’autres pays ayant accès aux ressources halieutiques de la ZEE mauritanienne en vertu d’accords de pêche ou de licences de fret.

 

LES RESSOURCES HALIEUTIQUES ET LEUR EXPLOITATION

Les captures dans les eaux mauritaniennes se sont multipliées dans la première moitié des années 70. Depuis lors, la tendance s’est inversée. En termes de volume, les petites et moyennes espèces pélagiques sont les plus représentées dans les captures en eaux mauritaniennes, mais en termes de valeur c’est le poulpe qui arrive en tête. Les captures de merlus et de crustacés sont également importantes.

Traditionnellement, ce sont les navires étrangers qui se chargent de la plupart des captures, même si les captures de la flotte mauritanienne se sont considérablement développées depuis les années 90. Outre l’activité de l’Union européenne, les flottes de Russie, d’Ukraine et de Chine jouent un rôle de plus en plus important.

Au niveau des captures des flottes de l’Union européenne, la seule augmentation concerne les petits pélagiques pêchés par les navires néerlandais, lituaniens, lettons et polonais. L’activité de la flotte espagnole est diversifiée dans d’autres catégories de pêche : elle joue un rôle prépondérant dans la pêche aux céphalopodes, aux crustacés et au merlu noir.

 LA PÊCHE et L’EMPLOI

La pêche est primordiale pour l’économie de la Mauritanie. Elle représente 10 % du PIB et entre 35 et 50 % des exportations du pays. Les recettes budgétaires proviennent de la pêche à hauteur de 29 %.

La pêche crée 45000 emplois directs et indirects, soit 36 % de l’emploi. On estime que la pêche artisanale crée 31 % des emplois, contre 12% pour la pêche industrielle.

Malgré son importance dans l’économie mauritanienne, le secteur de la pêche est très peu développé. Cela est dû à l’absence de tradition maritime et à l’éloignement géographique de Nouadhibou, qui était le seul point de débarquement pour la flotte industrielle.

Les petits pélagiques représentent 90 % du volume des captures de la flotte mauritanienne, mais seulement un peu plus de 40 % de la valeur des débarquements. Les espèces démersales représentent un peu plus de 20 % de la valeur des captures, les céphalopodes (principalement le poulpe) environ 30 % et les crustacés n’atteignent que 10 % de la valeur des captures.

La flotte de pêche mauritanienne compte deux secteurs distincts : la flotte industrielle et la flotte artisanale. Le secteur industriel,

  bien que responsable de 90 % des captures, ne crée que

peu d’emploi et de valeur ajoutée.

La flotte industrielle se consacre à la pêche de fond : poulpes, crustacés et autres espèces démersales. Elle compte 140 navires. Parmi ceux-ci, 94 sont des navires congélateurs et 10 se consacrent à la pêche aux crustacés. La flotte mauritanienne compte par ailleurs 46 chalutiers frigorifiques. La flotte industrielle mauritanienne ne pratique pas la pêche pélagique.

La pêche non industrielle est un segment qui peut être divisé en deux parties distinctes : la

Pêche côtière et a pêche artisanale. Les embarcations de la pêche artisanale ne sont pas couvertes, leur longueur est égale ou inférieure à 14 mètres et leur tonnage varie entre un et cinq tonneaux de jauge brute (TJB). Elles utilisent des engins de pêche manuels ou des sennes coulissantes.

Les embarcations de la pêche côtière peuvent éventuellement être couvertes et leur longueur est égale ou inférieure à 26 mètres. Elles n’utilisent ni chalut ni drague et ne disposent pas de moyens de congélation. En général, la flotte côtière et artisanale pêche dans des eaux de moins 20 mètres de profondeur et à moins de 6 milles de la côte. Elle a connu une forte expansion : en 1986 elle ne comptait que 500 embarcations alors qu’en 2007 on en dénombrait 4200. On estime que 3200 d’entre elles sont opérationnelles. Parmi celles-ci, 110 sont des voiliers qui naviguent aux abords du Banc d’Arguin.

L’industrie de transformation du poisson est peu développée et sous-exploitée.

Certaines installations sont vétustes et posent des problèmes sanitaires.

La Mauritanie ne compte que deux ports de pêche, (Tanit en phase de mise en service) à Nouakchott et Nouadhibou. Le port de Nouadhibou a de meilleures infrastructures, une activité de pêche plus importante et une zone réservée à la flotte artisanale. C’est là que tous les débarquements de la flotte industrielle et 20 % des captures des flottes côtière et artisanale sont commercialisés. Il n’existe pas de véritable port de pêche à Nouakchott : l’activité de pêche se trouve au marché aux poissons, dans une zone de débarquement déplacée au nord du port. Une grande partie des captures est débarquée au port de Las Palmas, aux Îles Canaries. Le manque d’infrastructures portuaires limite les possibilités de débarquement et les exportations sont freinées par un transport aérien irrégulier et insuffisant. Des exportations de produits frais de Nouadhibou vers la péninsule ibérique sont néanmoins effectuées par avion. La Société mauritanienne de commercialisation des produits de pêche (SMCP), qui détient le monopole du produit congelé, se charge de la plupart des exportations. Il s’agit principalement d’exportations de poulpe congelé à destination du marché japonais, qui offre des prix plus élevés que le marché européen.

 

 

LES ACCORDS DE PÊCHE UE-MAURITANIE

L’Accord de pêche UE-Mauritanie est le plus cher parmi ceux conclus par l’UE. Pour la période 2008-2012, la contrepartie financière s’élève à 305 millions d’euros, auxquels s’ajoutent 60 millions d’euros provenant des redevances payées par les armateurs pour obtenir des licences. Cet accord a évolué depuis l’Accord de pêche de 1987, devenant en

1996 un Accord de coopération et depuis 2006 un Accord de partenariat. Au cours de cette évolution, les aspects liés à la conservation des ressources, la contribution au développement, la mise en place d’une politique de pêche, l’assistance scientifique et technique et la coopération interentreprises ont été renforcés.

L’Accord Union européenne - Mauritanie a une importance toute particulière pour les chalutiers qui pêchent des céphalopodes et des crustacés, puisqu’ils ne disposent pas d’autre zone de pêche, hormis la Guinée-Bissau. Les accords successifs ont restreint les possibilités de pêche, mais ont augmenté les contreparties financières et les redevances à charge des armateurs. La faible utilisation des possibilités de pêche dans certaines catégories s’explique par des problèmes liés aux mesures techniques, à des redevances élevées et aux arraisonnements. Les zones de pêche autorisées sont de plus en plus éloignées de la côte afin de promouvoir le développement de la pêche artisanale, qui bénéficie d’une zone exclusive et de moins d’interactions avec la flotte industrielle, et afin de réduire l’effort de pêche sur le poulpe. Même si les mesures techniques sont de plus en plus précises au fil des accords,

 

 

La Pêche en Mauritanie et les accords de pêche avec l’UE

Elles restent problématiques puisqu’elles impliquent un traitement discriminatoire vis-à-vis des flottes de l’Union européenne. Les accords prévoient et régulent les transbordements de captures et les débarquements dans les ports de l’Union. Ils prévoient en outre l’embarquement de membres d’équipage et d’observateurs de nationalité mauritanienne à bord des navires de l’Union. Afin de veiller à la bonne application de l’Accord, une commission mixte et un comité scientifique conjoint ont été créés. Le problème de l’arraisonnement de navires de l’Union s’aggrave avec le temps. Des indices laissent penser qu’une partie des arraisonnements pourraient être injustifiés. En dépit de la mise en place d’un groupe de travail sur la question, les autorités mauritaniennes compétentes ne semblent pas enclines à coopérer.

Une ère nouvelle de pêche :

La Mauritanie avec ces richesses multiples avait été depuis longtemps victime d’une convoitise internationale bien organisée, bel et bien planifiée d’une façon malice jubilée par une gouvernance qui manquait sur tous les plans et le secteur de la pêche ne fait pas exception. Le lobby étranger trouvait toujours un partenaire de gabegie au sein de nos anciens dirigeant et responsable du premier rang.

L’arrivée de son Excellence Mr le président de la République Mr Mohamed Ahmed ould Gazwani mettra sans faille ce secteur sur les bons rails, l’expérience de son excellence dans les dossiers très épineux sur le plan national et multinational et sa sagesse reconnue par l’ennemie avant l’ami fait de lui la personne adéquate pour comprendre la complicité du secteur et son choix de politique générale et les responsables du secteur feront sans doute la différence. 

 

 

 

Commentaires :

La situation de la pêche en Mauritanie doit être modifier en urgence sur trois axes essentiels :

1-le premier plan doit viser l’aménagement de la ressource par une législation qui donne la priorité à la pêche artisanale par deux volet majeurs :(a) la recherche de financement pour les pêcheurs artisanaux et une débouchée efficace pour la vente de produit sur le plan national et régional

                                    (b) une solution durable du conflit artisanale -industrielle sur l’appui de la nouvelle technologie de localisation satellite pour les deux composantes et un suivi sérieux par des professionnels du secteur.

                                    (c) la formation professionnelle en matière de recherche scientifique au niveau locale pour mieux comprendre les problèmes des mareyeurs et pêcheurs sur leur lieu de travail.

2-une révision globale des accords de pêche (Mauritanie UE) (Mauritanie -Sénégal) et l’ensemble des partenaires puisque ces accords ont des failles techniques très dangereux pour la ressource elle-même et pour l’économie nationale

3-.une étude très urgente sur l’impact des gisements du pétrole et Gas naturel sur le milieu aquatique Versace la ressource non renouvelable des hydrocarbures.

4-l’orientation vers une industrie de transformation des produits de la pêche tel que :

-la préparation et conservation de poisson, de crustacés et mollusques

-filetages de nos dix espèces candidates et très appréciés au niveau international dont sept sont commercialisées avec un nom d’origine européen.

-découpe : une partie est utilisée dans la cosmétique et la préparation pharmaceutique

-portion et surgélation ainsi l’emballage sous vide ayant plusieurs utilisations.

-séchage, salage, saumurage dont les marches en Afrique et Asie sont trop prometteurs et gagnent du terrain tous les jours.

-conserves :  nos eaux territoriales regorgent plus de neuf espèces de poissons parmi les meilleurs au monde dans les conserves, une attention particulière doit être donner à cette orientation et profiter des nouvelles technologies dans ce domaine

Prépare et écrit par Brahim ould Breika

Ingénieur de pèche

 

 

dim, 02/08/2020 - 12:26