Le maire de la commune de Zouerate et député de la citée minière et actuel président du parlement mauritanien, en l’occurrence Cheikh Ould Baya, a réalisé le long de sa carrière professionnelle et politique, des acquis sans précédent pour la wilaya de Tiris Zemmour en général et la moughataa de Zouerate en particulier.
- Délégué de la surveillance maritime et Conseiller technique du ministre des pêches et de l'économie maritime, Ould Baya était l’un des plus grands négociateurs avec l'Union européenne dans le domaine des accords de pêche,
- Président de l'Association des Maires de Mauritanie (AMM), au sein de laquelle il a présenté des réflexions susceptibles d'améliorer ses performances,
- Président du Parlement mauritanien, cette Chambre devenue sous son mandat plus disciplinée et plus féconde en termes de débats et de la diversité des points de vue,
- Décoré à deux reprises de la Médaille du mérite national en sa qualité de l’un des plus grands serviteurs du pays,
Des distinctions parmi d’autres, qui ont suscité l’envie des opposants et aiguisé leur langue contre Cheikh Ould Baya, sans que ces campagnes malveillantes n’arrivent à affecter son ferme engagement à servir son pays et son peuple.
Dans ce bref article, nous essayerons de revenir sur des pans d’un parcours qui illustre la droiture et le sérieux de l'homme.
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La rigueur de la surveillance et la dextérité des négociations
Il y a deux jours, certains journaux nationaux ont évoqué dans leurs colonnes et sites Web, un pillage systématique des ressources marines mauritaniennes mené par des sociétés de pêche chinoises.
Il y a quelques mois, on indexait aussi, sous des faux prétextes, les garde-côtes mauritaniennes de cibler les investisseurs nationaux tout en fermant l’œil sur leurs pairs étrangers.
Tous ces agissements ont rappelé à la mémoire, les années passées par Cheikh Ould Baya en tant que Délégué de la surveillance maritime, dés 2005.
Une date historique, à partir de laquelle, l’homme a diamétralement changé la culture et les mécanismes de la gestion du potentiel halieutique, après avoir reçu un mandat gouvernemental ouvert, grâce auquel, il est parvenu à mettre de l’ordre dans le secteur des pêches et déclaré une guerre sans merci contre les contrevenants de la règlementation, les violeurs de la souveraineté nationale et les pilleurs des richesses marines.
Du coup, les eaux territoriales mauritaniennes sont devenues sous son leadership, sécurisées pour la première fois dans l'histoire du pays et l’attribution des licences de pêche, jadis anarchique, désormais régie par des règles juridiques transparentes.
Ould Baya a été nommé après la Délégation de la surveillance maritime et les performances largement saluées de son Délégué Ould Baya, notamment en imposant des amendes aux navires contrevenant aux lois et l’orientation de milliards ouguiyas, qui partaient en fumée dans les bourses des tiers, vers la constitution du budget national, après que l’intégrité territoriale maritime mauritanienne ait devenue sécurisée, crainte et respectée, respectable, au poste de Conseiller du ministre des Pêches et de l'Économie maritime, chargé de négocier avec l'Union européenne les accords de pêche qui ont épuisés la Mauritanie depuis de nombreuses années.
Grâce à une habileté incomparable, une capacité exceptionnelle à négocier et à convaincre, ainsi qu’à éviter les pièges tendus par les négociateurs européens spécialisés, Ould Baya a arraché dans des conditions très confortables pour la Mauritanie, l’adoption de l'Accord de pêche de 2006 et tous ses protocoles annexes.
L’accord précité a été également renouvelé pendant les années 2008, 2012, et 2014.
Il a remarquablement réussi aussi les pourparlers couronnés par la signature de l’Accord 2015-2019.
Partant de la forte personnalité du Chef des négociateurs mauritaniens, en l’occurrence Cheikh Ould Baya et grâce à sa grande perspicacité, les européens ont tourné le dos aux négociateurs des périodes sombres, à l’instar de "Cesare Robert", remplacés par d’autres plus réalistes, après avoir compris que les règles du jeu ont changé avec un interlocuteur strict, irréprochable et hors pair, qui n'accepte pas de porter préjudice aux intérêts vitaux du pays.
Ainsi, la situation est passée de la vente de licences flottantes et sombres de pêche à celle des quantités capturées, avec l’obligation de déchargement dans les ports mauritaniens, de se soumettre à des inspections minutieuses et pour la partie européenne d’embaucher 60% de la main-d’œuvre existante à bord des navires des marins mauritaniens, en plus de l’interdiction de capturer les mollusques et même de s’approcher de la zone de pêche traditionnelle réservée aux pirogues mauritaniennes.
En bref, on peut résumer les acquis réalisés par Ould Baya dans ce domaine par: la fin de l’attribution anarchique des licences, l’éradication de la pêche dans les zones interdites, le fait d’avoir paré à la contrebande des produits de la pêche à l’étranger, le respect de la flotte nationale tout en lui accordant la priorité, le blocage des complicités avec les étrangers pour la vente des captures mauritaniennes sur les marchés internationaux, sans connaitre leur nature et leur quantité et sans que l'Etat impute sa part de ses redevances, imposer un prix plafond au niveau de la société de commercialisation des produits de pêche et, mettre de manière définitive un terme à la minimisation des négociateurs mauritaniens face aux négociateurs européens, etc.
En un mot, la Mauritanie a choisi M. Cheikh Ould Baya comme négociateur avec l'Union européenne d’accords défavorables pour la partie mauritanienne ; ce qui a provoqué un bond qualitatif grâce au changement de l’esprit des discussions bilatérales et au patriotisme dont l’homme a fait preuve dans son interaction avec ce dossier, qui n’est plus un jeu entre les mains des Européens.
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Le Maire et les réalisations concrètes
De façon générale et selon l'expérience quotidienne des citoyens, les communes se limitent à de longues réunions tenues par les conseillers et à des discussions inutiles sur la manière d’évacuer les ordures, et au meilleur des cas, se consacrer, depuis le maire et ses proches parmi les conseillers, à partager ce que les partenaires envoient à leurs communes, sans investir une seule ouguiya, dans les infrastructures des zones qui les ont élu au cours de campagnes bruyantes.
A propos de l’ex maire de Zouerate, Cheikh Ould Baya, il était l’exception qui confirme la règle, puisqu’il a offert aux habitants de sa municipalité l'eau et l'électricité à des prix très symboliques, désenclavé pour la première fois la citée minière, fourni les services de santé et pris en charge les patients sans moyens.
Il a pris également en charge le hadj annuel de 10 pèlerins, bâti des cantines scolaires sans précédent qui ont aidé les pauvres de la ville à enseigner à leurs enfants, a donné des bourses aux lauréats du bac, lutté contre les stupéfiants en milieu scolaire et exempté les petits vendeurs des impôts.
Ould Baya ne s'est pas contenté seulement de ces acquis concrets, mais bien au contraire, a continué à les renforcer, notamment à travers la construction du réseau d'égouts de la ville de Zouerate, la construction de l’aéroport, l’éclairage de toutes les routes, la construction du barrage « Idhleima », du stade municipal, du palais de justice et de la maison des jeunes.
Ould Baya a planifié par ailleurs les quartiers périphériques, distribuer les parcelles de terrain au profit de ses habitants d’une part et des employés de la SNIM d’autre part, accordé un soutien annuel aux veuves et aux orphelins, déménagé «Lehra-ith» (jardins) afin de protéger l’écosystème et les citoyens contre les épidémies causés par la propagation des insectes, transporté les machines aurifères, équipé un endroit réservé aux employés qui travaillent dans le domaine, résolu le problème des retraités, avec en plus, le règlement de la plus grande crise traversée par la citée minière (la grève de 2015), après l’éclatant succès de sa médiation qui a permis de rétablir la sécurité et la stabilité des zouératois...
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Réalisations sous l’hémicycle du Parlement
Dés son élection au poste de président de l’Assemblée nationale, le député Cheikh Ould Baya a été élu président du Parlement mauritanien, il a commencé sans attendre à réformer cette institution de souveraineté, qui n'était auparavant rien d’autre qu’une boite de résonance.
Il a ordonné aussitôt à nettoyer les lieux pour donner au parlement, vitrine du pays, cette image digne qui lui sied.
Il a œuvré également pour améliorer les performances de l'hémicycle à travers la création d’une chaine TV parlementaire, dont les conditions du personnel ont été aussi améliorées.
Une chaine TV jouissant d’un climat lui permettant de travailler avec confort, sérieux et professionnalisme, au point d’acquérir sous Ould Baya, une grande réputation, car elle est devenue un organe médiatique compétitif pour les autres médias, en termes de contenu, de rédaction et de la qualité du produit présenté.
Le président du Parlement a convoqué, pour la première fois dans l'histoire de cette Chambre les travailleurs fictifs, déterminé leurs activités, paré à leur absentéisme et amélioré leurs conditions.
Cheikh Ould Baya reconduisait annuellement dans le Trésor public d'énormes sommes d'argent qui n'avaient pas été dépensées au cours de l'exercice précédent.
C’est ainsi, qu’il a rendu cette année 300 millions d'ouguiyas au Trésor mauritanien, qui allaient s’évaporer comme ses semblables au cours des périodes passées.
Ceci sans parler du niveau très élevé et très responsable des joutes parlementaires, de la gestion rationnelle et de l’organisation intelligente des interventions et du temps accordé aux députés pour présenter leurs points de vue sur les projets de loi à examiner et à adopter.
Plus, Ould Baya avait cette qualité de grand modérateur, dotée d’une capacité extraordinaire de contenir la tension politique au sein l'Assemblée nationale, au point que tous les députés, tant de la Majorité que de l’Opposition, sont tous passés du camp de l’adversité vis-à-vis de de l’homme à celui de simples protagonistes s’exprimant dans une atmosphère de saine et quiète concurrence suscitant l’admiration et la satisfaction de tous et devant un arbitre constructif, impartial et tenace à l’intérêt général.
En conclusion de ce qui précède, M. Cheikh Ould Baya, malgré ce qui a été dit à son propos, au sujet des primes légitimées par les lois et convaincantes dans les faits, dés lors où elles visaient à motiver les responsables de la surveillance maritime, afin de s’acquitter avec abnégation de leur mission et loin de la mainmise de « l’argent roi » et de la corruption dans le domaine des pêches, la majorité de l'opinion publique nationale et la plupart des observateurs et analystes ont continué à le considérer comme étant le plus fidèle des fils de la Patrie.
Ce qui ne surprend pas, puisque l’homme fait partie de ceux qui placent l'intérêt de la Mauritanie au-dessus de toute considération, quel que soit le prix à consentir et quelle que soit la facture à payer, à la suite des campagnes de propagande menées par les fossoyeurs et les corrompus.
Aux auteurs des toutes les campagnes qui l’ont ciblées et provenant de certaines parties qui lui étaient hostiles au cours d’une élection, nous disons, les chiens aboient, la caravane passe.
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