.Pour la première fois depuis des décennies, la Mauritanie se trouve au centre de l'attention du monde entier, avec ses grandes puissances à l'échelle mondiale et ses pays d'influence régionale.
Juste après la signature de l’accord de paix par la CMA (Coordination des Mouvements de l’Azaouad) en 2 phases les 15 mai et 20 juin 2015, certaines opinions ont suggéré l’ouverture de dialogue avec Iyad Ag Ghaly, chef du groupe pour le soutien de l’islam et les musulmans (GSIM) puis avec Amadou Koufa, patron de la Katiba Macina.
La Mauritanie accueille le Président Macky Sall. Il est le premier Président étranger à fouler le sol de notre pays depuis l’accession effective du Président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani au pouvoir. Normal qu’il soit le premier parmi nous.
Des enregistrements répréhensibles de par leur contenu, décevants dans leur langage décroissant et leurs menaces à peine voilées sont diffusés, dans certains médias sociaux et sites électroniques, par une volonté malveillante de personnes frustrées et hantées par l’apparition de signes éclatants d’une réforme qui prend de plus en plus forme.
Le gouvernement de l'ingénieur Ismail Ould Bedde Ould Cheikh Sidiya n'a ménagé aucun effort pour concrétiser sur le terrain de la réalité le programme "Teahoudaty" (mes engagements), lancé par le président, Mohamed Ould Cheikh Ghazouani, au lendemain de sa candidature à la présidence de la République.
La Coordination des Associations culturelles pulaar, sooninke et wolof (ARPRIM, APCLS, APROLAWO) suit avec intérêt le débat polémique autour de l’usage des langues à l’assemblée nationale.
La Mauritanie a connu une alternance en douceur, l’été dernier, lorsque l’ancien chef d’état major, Mohamed El-Ghazouani, a succédé à l’ancien président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz.
Alors qu’on la croyait morte et enterrée, la commission parlementaire chargée de faire la lumière sur un certain nombre de dossiers et d’affaires louches qui ont émaillé la dernière décennie refait à nouveau surface.
Trois années passées que le Royaume du Maroc a réintégré l’Union Africaine. Je me rappelle le discours historique prononcé par Sa Majesté Le Roi Mohammed VI, le 31 janvier 2017, lors du 28ème sommet de l’Union africaine (UA), à Addis-Abeba, capitale de l’Éthiopie, quand il avait prononcé des mots touchants et influents :