Siniya Haidara est la Présidente de l’ONG femme et résilience pour les droits humains en Mauritanie.

Le régime cherche à présenter l’élection de Ould Ghazouani à la présidence de l’Union Africaine comme une victoire diplomatique. La preuve par excellence qu’il n’a pas de réalisations sur le plan intérieur.

7 femmes et 14 hommes, anciens esclaves de la tribu Tajakant, entament une deuxième semaine de garde à vue à l’intérieur des cachots insalubres du commissariat de police de Rkiz, après une expression de mécontentement sans violence, contre la spoliation de leurs terres de culture, au profit des maîtres d’hier.

L'élection présidentielle de 2024 représentera en effet un test crucial de la maturité démocratique en Mauritanie.
 Il est essentiel que le processus électoral soit transparent et intègre pour permettre une compétition équitable entre les candidats.

 J’ai l’honneur, par cette présente, de vous soumettre certains points de vue qui me paraissent utiles et pertinents à prendre en considération afin de relever les défis majeurs auxquels la pêche artisanale est confrontée.

L'organisation d'une conférence sociale sur les bas salaires en Mauritanie pourrait être une initiative importante pour aborder cette question cruciale.  Quelques pistes et points à considérer pour une telle conférence :

L’artisan politique en puissance Elve Boidiya, président de la Coordination « Emel Nouadhibou », vient d’être récompensé pour son engagement sans faille et couronné de succès au sein du parti Insav au pouvoir.

Jean Van Wetter, le Directeur Général de l'agence de développement Enabel : « Ils sont nombreux à penser encore que nous distribuons du riz aux pauvres »

Pour lutter contre le régionalisme, l'ethnisme et le tribalisme en Mauritanie, il est important de mettre en œuvre des mesures à différents niveaux de la société Mauritanienne et du gouvernement.

De mon point de vue je livre ici quelques approches potentielles pour y parvenir :

Note d’information : Dès qu’un édile est malmené et de surcroît dans l’hémicycle, la démocratie en pâtit. Du jamais vu ! Ainsi, le 24 janvier après 17heures, la députée Mariem Mint Cheikh est expulsée, manu militari, de l’Assemblée nationale.