Réunis à Pau, en France, les pays du G5 Sahel ont souhaité la poursuite de l'engagement de Paris pour lutter contre le jihadisme dans la région. Le président français Emmanuel Macron a annoncé l’envoi de 220 soldats supplémentaires sur le terrain.
L’accord a été signé mercredi à Rabat. Il est assorti de deux autres accords conclus à l’occasion de la 5e Commission mixte Maroc-Japon, qui vise à renforcer la coopération bilatérale entre les deux pays.
Mais ni les tentatives lointaines de Casemiro (5e) ou Luka Modric (8e), ni les têtes de ce même Casemiro (43e), Mariano (89e) ou Valverde (67e), avec cet incroyable manqué, ne parviendront à inquiéter le capitaine Oblak, impeccable dans ses sorties jusqu'au bout (82e, 87e, 90e+1), et mué encore en véritable métronome des "Colchoneros".
Le guide suprême iranien Ali Khamenei a jugé ce dimanche 12 janvier que la situation dans la région du Golfe demandait «plus que jamais un renforcement des relations entre Etats» riverains.
Les deux parties en conflit en Libye se sont accusées mutuellement d'avoir violé un cessez-le-feu proposé par la Turquie et la Russie, alors que les combats se poursuivent autour de la capitale, Tripoli, dimanche.
Des échanges de tirs entendus dans les districts de Salaheddin et Ain Zara, selon l'agence de presse Reuters.
Au Niger, des sources sécuritaires ont confirmé, dans la nuit de samedi à ce dimanche 12 janvier, que l'attaque perpétrée jeudi, contre le camp militaire de Chinagoder a fait 89 morts parmi les Forces de défense et de sécurité (FDS).
L'armée iranienne a reconnu, samedi, avoir touché par "erreur" l'avion de ligne qui s'est écrasé mercredi près de Téhéran, tuant les 176 personnes à son bord. Le Boeing 737 d'Ukraine Airlines a été pris pour un "avion hostile", justifie Téhéran qui présente ses excuses aux familles des victimes
À la veille du sommet de Pau, l’opération Barkhane suscite une polémique quant à son efficacité. Malgré l’agressivité croissante des groupes armés terroristes depuis 2018, l’action des forces françaises demeure cohérente avec les objectifs assignés depuis 2014.
Les députés tunisiens ont refusé, vendredi 10 janvier soir, la confiance au gouvernement proposé par le candidat du parti d’inspiration islamiste Ennahda, Habib Jemli, relançant les laborieuses négociations pour trouver un cabinet, trois mois après les élections législatives.