La Société nationale industrielle et minière (SNIM) a fini l’année 2021 en beauté et entame 2022 sous de bons auspices. Une production qui frôle les 13 millions de tonnes, malgré la persistance de la pandémie du nouveau coronavirus (Covid-19) et des primes de productivité distribuées, pour la circonstance, sur les travailleurs que la Direction générale veut à la fois encourager et inciter à continuer sur la même lancée pour aller toujours de l’avant.
Mais s’il faut louer les efforts des milliers de travailleurs de cette société, deuxième employeur après la Fonction publique, nul doute que le mérite revient aussi à Monsieur l’ADG Mohamed Val Mohamed Telmidi nommé en mars 2021 à la tête de cette société où il a fait carrière durant des décennies. Un choix judicieux du président Ghazouani que le conseil d’administration de la SNIM a approuvé avec enthousiasme tant les qualités managériales de l’homme étaient connues – et reconnues – de tous.
Ingénieur d’Etat, Diplômé de l’Ecole Nationale de l’Industrie Minérale (ENIM de Rabat au Maroc), M. Mohamed Vall Mohamed TELMIDY avait le profil idéal pour conduire la SNIM vers l’atteinte des performances qui ferait d’elle, d’ici quelques années, l’un des cinq premiers producteurs de fer dans le monde.
Son passage à la Direction commerciale lui donne une bonne vue de ce que doit être la stratégie de la SNIM dans sa conquête de nouveaux marchés par l’amélioration de son offre. Il en est de même pour les perspectives de production, Ould TELMIDY ayant occupé également pendant six ans (2005-2011) le poste de Directeur du Siège d’Exploitation (DES) avant de passer par la suite au poste essentiel de Directeur du Pôle de Production (DPP) en charge de toutes les opérations de Production et de maintenance à Zouerate et à Nouadhibou.
Sur le plan de la gouvernance, l’ADG est toujours en quête de la qualité des hommes. Le choix de ses principaux collaborateurs répond au seul souci de la performance pour être à la hauteur de la confiance que les plus hautes autorités de l’État ont placé en lui. Il s’agit d’une politique de l’homme qu’il faut à la place qu’il faut qui a déjà commencé à donner ses fruits. Un Pacte social qui évitera à la société des crises et des perturbations inutiles comme celles qu’elle a connues dans le passé et de ne se préoccuper que de ce qui peut aider à la réalisation de ses objectifs dans un contexte de concurrence mondiale des plus rudes.
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La Rédaction