Le Magazine « Jeune Afrique », a publié le jeudi 2 avril dernier, un article intitulé « Comment les présidents africains se protègent du Coronavirus.
Jeune Afrique cite dans cet article réservé aux abonnés plusieurs Chefs d’Etats du continent dont le président mauritanien Mohamed Ould Cheikh Ghazouani.
Le président Mohamed Ould Ghazouani a réduit la cadence de ses réunions, la circonscrivant au minimum possible de ses collaborateurs, révélé le magazine.
Ghazouani a imposé à ses visiteurs de porter un masque de protection, des gants et de stériliser leurs mains à l’aide d’un liquide spécial, ajoute Jeune Afrique.
Des accusations gratuites et infondées qui visent à occulter le travail gigantesque et la lutte avant-gardiste menée au premier plan par le Président de la République Ould Ghazouani, avec le soutien du Premier ministre, du gouvernement, des tous les segments économiques et socioprofessionnels ainsi des réligieux.
Un combat héroïque louable qui n’admet pas de rester à l’arrière-plan, traduit par un train de mesures préventives renouvelées et renforcées au jour le jour, qui ont été félicitées par l’opinion nationale toutes composantes confondues ainsi que par l’OMS et bien d’Etats de par le monde.
C’est vraiment dommage qu’un journal aussi célèbre se confond dans les contrevérités et accuse sans fondements des présidents et des gouvernements qui se battent sur tous les fronts pour sécuriser leur pays et leurs peuples et empêcher la propagation du Coronavirus dans le pays
L'article incomplet révéle à propos d'autres Chefs d'Etats ce qui suit :
Alors que l’épidémie de Covid-19 s’étend sur le continent, les chefs d’État africains veillent scrupuleusement à se protéger du virus. Dans les palais présidentiels, de nombreuses dispositions ont été prises afin d’assurer leur sécurité personnelle, ainsi que celle de leurs collaborateurs.
Seuls quelques rares privilégiés peuvent encore s’entretenir avec eux. Comment accède-t-on désormais à Paul Biya, Alassane Ouattara, Ali Bongo Ondimba, Denis Sassou Nguesso, Alpha Condé, Ibrahim Boubacar Keïta, Paul Kagame, Mohamed Ould Ghazouani ou encore Macky Sall ?
• Paul Biya
La dernière apparition publique du président camerounais date du 11 mars. Il recevait alors à son bureau du palais d’Etoudi Peter Henry Barlerin, l’ambassadeur des États-Unis au Cameroun.
Contrairement à la grande majorité des autres chefs d’État de la région, Paul Biya ne s’est pas adressé à ses compatriotes pour annoncer les mesures de lutte contre l’épidémie. Seuls le Premier ministre, Joseph Dion Ngute, et le ministre de la Santé, Malachie Manaouda, communiquent sur la crise sanitaire.
Son absence suscite d’ailleurs des critiques de l’opposition et des rumeurs alarmistes sur son état de santé. Mais, selon nos informations, le président camerounais n’est pas positif au Covid-19.