Une fois de plus et après les coups répétés et douloureux faits par le Parlement et la justice aux responsables impliqués dans les grands dossiers de corruption, le génie des thuriféraires dans la ville les poussa à faire recours au lancement de leurs dernières fakes news, formées à base de mensonges et de leurres.
Ils réfléchissent à un moyen leur permettant de provoquer une fissure dans le mur d'un consensus national sans précédent sur les acquis réalisés par le président de la République, Mohamed Ould Cheikh Ghazouani, mais cette fois, encore comme celles qui l’ont précédé, la chance n’a pas été de leur côté.
Ils ne sont pas parvenus à détecter la moindre fente, leur permettant de faire passer leur stratagème au cours de l'année écoulée du premier mandat.
Comme ils ne se sont pas assurés les convictions indispensables pour leurrer l’opinion au cours des 4 années qui restent, dés lors où personne ne croit plus à leurs dires.
Ils ont bondi alors sur le second mandat, dont l’évocation aujourd’hui est prématurée, afin de prêter au président, dans le cadre de leur adversité sans limite, son intention de ne pas se présenter à un deuxième quinquennat, certains selon leurs illusions, que cela ne peut être un vœu populaire.
Cette rumeur n'est rien de plus qu'un souhait implicite exprimé par les réfracteurs des chantiers réformistes et de la lutte contre la corruption, transformé par la suite en une fausse nouvelle, dans le vain espoir de trouver des oreilles attentives.
La première année du mandat I du président du consensus national est passée, mais son lourd fardeau et sa grande lenteur pour les corrompus et les thuriféraires, leur a fait croire que cinq années s’étaient écoulées, commençant à parler du second quinquennat avant même que nous éteignons la première bougie de l'investiture du président.