Après les propos discourtois prononcés par l'avocat français de l'ancien président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, en l'occurrence David Rajjou, à l’endroit de la police mauritanienne chargée des crimes économiques et financiers, lorsqu'il a qualifié l'enquête visant son client de "farce politique", voilà son collègue du même collectif de défens