L'ancien ministre Isselkou Ould Ahmed Izidbih a annoncé dans tweet publié sur sa page Facebook, sa démission de l'Union Pour la République, le parti au pouvoir, en protestation au retour de l'atmosphère des procès politiques et du recul notoire des libertés individuelles et collectives, selon le posting.", comme il le disait.
La scène politique du pays a connu un certain nombre de changements, dont certains sont entachés de nombreux troubles et aucun portefeuille ministériel n’a été épargné de réprimandes et de d'observations, suscitant des avis controversés et des opinions divergentes dans sa vision d’une part et des interaction différentes chez les décideurs.
Le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, a nommé un nouveau gouvernement sur proposition du nouveau premier ministre, Monsieur Mohamed Ould Bilal.
Le ministre secrétaire général de la Présidence de la République, M. Adama Bokar Soko, a annoncé, dimanche après-midi, lors d’un point de presse au palais présidentiel, la composition du nouveau gouvernement.
Pourquoi certains responsables et journalistes des médias publics ont-ils vraisemblablement dissimulé la gabegie, au cours de la décennie et de la période d'avant, couvert et au-delà glorifié ses auteurs ?
Certains analystes et observateurs pensent que le gouvernement en gestation prendra du temps à se former, en raison du lancement vendredi soir dernier des premières enquêtes par la police chargée des crimes économiques et financiers.
La formation du gouvernement en gestation qui devra être annoncée dans les toutes prochaines heures réservera de grandes surprises à l’opinion publique, avec l’entrée attendue de poids lourds.
De la protohistoire de la Mauritanie à nos jours, la gestion du territoire et des ressources par le chef de tribu des anciens temps, chef d’État des temps modernes, se confond inéluctablement avec le pillage des biens de la communauté par celui qui détient le pouvoir et sa parentèle.