Le Conseil supérieur des oulémas condamne fermement le contenu du film “Saydiat Al Jannah” (La Dame du paradis), exprimant son rejet catégorique de la falsification flagrante de faits établis de l’histoire de l’Islam.

Voici la traduction du communiqué rendu public samedi par le Conseil à ce sujet:

L'Union des écrivains et littéraires mauritaniens a organisé, samedi matin, au siège de la région de Nouakchott, un colloque à la mémoire de feu Jemal Ould El Hacen, poète, écrivain et critique littéraire sous le thème : " Jemal Ould El Hacen: Deux décennies de présence après l’absence".

Les femmes occupent une place essentielle dans tous les domaines de la vie dans notre pays, a affirmé devant les députés, la ministre de l’Action Sociale, de l’Enfance et de la Famille, Mme Savia Mint N’Tahah, selon laquelle ce statut a été renforcé par la position qui leur est accordée dans le programme de Son Excellence le Président de la Républiqu

Statuant en flagrant délit le jeudi 2 Juin, le tribunal correctionnel de Nouakchott-Ouest a condamné à quatre ans de prison, dont deux ferme, Ahmed Mahfoudh ould Nah, Djiby Ba « Gelongal », Domone Camara, Mohamed Salem ould Beïb, le chef du mouvement « Ajaban », et trois autres prévenus.

Bonjour à tous et toutes.Je vous présente d’abord  (l’Association des Haratine de Mauritanie en Europe). Elle a été créée : le 13 juillet 2001. C’est une Association des droits de la personne à caractère non ethnique et non racial.

Le dialogue politique est mort-né avant même de commencer, a affirmé au confrère arabophone El Arabi, l’illustre activiste des droits de l’homme et grande intellectuelle mauritanienne, Mekfoula Mint Brahim.

Alassane Harouna Boye rescapé du fameux putsch de 1987 répond à la députée de l’UFP Mme Kadiata Malick Diallo. Le chantage politique de l'UFP n'arrivera jamais à faire taire le leader abolitionniste Biram Dah Abeid. 

Ci-dessous le texte de la réponse, bonne lecture

 Je ne me tromperai pas en qualifiant la journée du 4 juin, de jour de tristesse et de deuil en Mauritanie.24 heures au cours desquelles, la tristesse a frappé profondément les cœurs Mauritaniens, à travers deux incidents douloureux et choquants intervenus au cours de cette journée.

Il y’a 11 ans, le 4 juin 2011, disparaissait à Rabat, Dimi mint Abba, une légendaire voix féminine de la Mauritanie. Née à Tidjikdja le 25 décembre 1958, Dimi mint Abba était surnommée la « Diva du désert ».

La nouvelle a de quoi surprendre. Elle n’a pourtant pas été inventée par un média en mal de sensation.