La ténacité du Président de la République, Mohamed Ould Cheikh Ghazouani, depuis son accession au pouvoir il y a un an, à ce que les réformes soient inclusives et touchent les différents niveaux, est, on ne plus, un fait incontesté et clair, comme l’eau de roche.
En effet, dés les premiers moments, le Président a inauguré son mandat quinquennal, par l'ouverture à l'opposition, réussissant en peu de temps, à changer les règles d'interaction entre les composantes du spectre politique national et parvenant à désamorcer, une crise politique explosive, où toutes les armes offensives et défensives avaient été mises à contribution par les divers protagonistes.
Une atmosphère de querelles intestines qui avaient paralysé le développement, favorisé le pillage des richesses, éclipser la transparence, affecté le processus démocratique et porté atteinte aux droits individuels et collectifs…etc.
Mais la sincère volonté du Président de la République, Mohamed Ould Cheikh Ghazouani, a rasé la table et convié tous les différents acteurs à un face-face destiné à tourner à jamais la page des réserves et des adversités stériles ainsi qu’à ouvrir celle de l’harmonie et de la complémentarité, qui s’est traduite ultérieurement, par la conception d’une vision d'un avenir prospère.
Sur le plan social, le Président de la République a créé l'agence «Taazur», chargée d’apporter l’assistance aux pauvres et au travail laborieux, afin de déclencher un réel équilibre social loin des slogans creux et de la cacophonie assourdissante propre aux moulins tournant sans produire de farine.
Lors des catastrophes naturelles et de la pandémie du Covid-19, vécues par le pays, les instructions du Président de la République et sa supervision directe étaient présentes et fructueuses au niveau de chaque foyer méritant, à travers les aides urgentes tant en nature et qu’en espèces, en plus de l’exonération des familles démunies du paiement des factures d'eau et d'électricité.
Le dernier acquis à inscrire au menu de ce volet, est la réception des artistes d’un montant appréciable, destiné à leur venir en aide afin de surmonter les dures conditions consécutives au coronavirus sur ce sous-secteur.
Sur le plan économique, les indicateurs ont connu une escalade remarquable, imposant aux investisseurs d’augmenter la part du pays et à améliorer les conditions de l’emploi local.
Ce chapitre s’est distingué par ailleurs par l’ouverture de dossiers de corruption, qui devront conduire inéluctablement au processus de restitution de la plus grande partie des richesses pillées à travers les marchés douteux, sachant aussi que l’adoption de la transparence absolue dans la gestion des ressources de l'État est désormais un fait accompli.
Les réformes n’ont pas épargné aussi le secteur presse, tant public que privé, puisque le Président de la République a chargé un comité composé des trois générations de journalistes, de présenter une vision de réforme, dont il a reçu en audience les membres, auxquels il a fait les recommandations nécessaires.
L'intérêt accordé par le Président aux médias s'est matérialisé très tôt, lorsqu'il a nommé trois illustres journalistes aux commandes des institutions étatiques d’information les plus réputées, en l’occurrence la chaine TV Al Mouritaniya, Radio Mauritanie et l’Agence Mauritanienne d’Information (AMI).
Les orientations du Président sur l’ouverture se sont répercutées également sur les émissions, les programmes, les bulletins d’information et les reportages de ces organes officiels, demeurés pendant longtemps, le monopole exclusif d’une partie.
Ce qui singularise la période de gouvernance du Président de la République, Mohamed Ould Cheikh Ghazouani, c’est le fait que les réformes n’ont exclu aucun secteur et que l'ouverture n'a connu aucune limite.
C’est d’autant plus vrai que le plus récent témoin de l'ouverture médiatique était l’invitation faite hier dans la soirée du mercredi 22 juillet courant, par la chaine TV Al Mouritaniye au président du parti radical d’opposition islamiste du Rassemblement National pour la Réforme et le Développement (RNRD), qui n'était et ne sera pas d’ailleurs le premier ni le dernier parti d'opposition à passer librement en revue son programme, sa vision et ses critiques du pouvoir en place, à travers l’écran étatique.